Signé et daté en haut à gauche : Degas Rome 57
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-887
Une des premières peintures de Degas signée, datée et localisée où domine l’épaisseur du trait du pinceau qu’on retrouvera ultérieurement dans d'autres œuvres de Degas. On remarquera la forme particulière du R ainsi que la toile sous-jacente.
Signé et daté en bas à gauche : Degas 1865
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-818
Sur l’un des plus célèbres tableaux de Degas, cette date très lisible s’oppose à une signature légèrement apposée ou peut-être abusivement nettoyée et donc en partie effacée. La date ressort davantage que la signature si bien qu’on pourrait croire qu’elle a été rehaussée. Ce que nous ne pensons pas. En tous les cas, la forme du D s’éloigne nettement de celle de La Vieille Italienne.
en bas à droite : Ed. Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-1265
On ne connait pas chez Degas une signature aussi élégante si bien qu'on pourrait croire à un exercice de style. Chaque lettre est en effet stylisée comme si Degas avait voulu, toute proportion gardée, faire les pleins et les déliés de notre belle et ancienne écriture à la plume. On reconnaît là le E de sa carte de visite mais la forme du D est majestueuse. On remarque aussi la séparation de son nom utilisé à ses débuts avant qu'il ne fasse de Degas qu'un seul et même nom sans particule; le tableau datant de 1865.
Signé en bas à gauche : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-56
Apposée sur papier, cette signature fait penser à de l’aquarelle. Elle semble avoir été absorbée par le papier contrairement aux signatures à l’huile. D’où, ici, toute l’importance du support papier.
Signé et daté en bas à gauche : Degas 1868
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-852
Discrètement apposée en bas à gauche, cette signature, ton sur ton, est à peine lisible. On discerne plus distinctement la date de 1868 contrairement à 1866 comme le propose le Metropolitan Museum of Art.
Signé en bas à gauche : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-1899
Une signature au pinceau à l’huile dont le graphisme est comparable à celui de La Vieille Italienne avec néanmoins une sensible différence concernant la forme de la lettre D.
Signé en bas à gauche : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-795
Cette signature au pinceau se distingue des précédentes par la forme originale du D et celle du G qui sont peu communes chez Degas. La signature en noir sur fond beige la fait particulièrement bien ressortir.
Signé en bas à droite : Degas
Yale University Art Gallery - New Haven
MS-99
Visiblement signée en bas à droite, cette œuvre est la première vendue aux enchères à Paris le 13 janvier 1874, n° 18. La signature du haut est en partie effacée mais c’est la seconde à gauche qui retiendra notre attention par l’originalité du graphisme du E et de celui du D. Cette signature apparaît rarement chez Degas mais est bel et bien authentique. On est en droit de supposer que le graphisme, notamment du E, s’est inspiré de la carte de visite manuscrite de Degas (voir ci-contre).
Signé en bas à droite : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-1642
Le tableau rend bien la couleur crème du sol et de ses rayures qui font ressortir la signature rouge. On s’intéressera, là encore, à la forme originale du D et du G.
Signé et daté en bas à droite : Degas 71
National Gallery of Art - Washington
MS-2076
Peut-êttre exécuté lors d’un séjour en Normandie, ce tableau évoque la passion de Degas pour les chevaux. Cette scène attendrissante ne nous étonnera donc pas. Quant à la signature, elle est particulièrement inhabituelle et ne manque pas d’originalité. On décrypte sans hésiter le E, sans doute inspiré des cartes de visites de Degas à cette époque ainsi que le reste marron qui ressort parfaitement sur le fond vert. On remarquera les espaces entre le E du prénom et Degas ainsi que celui entre le nom et la date. Le grain de la toile est très visible.
Signé en bas à droite : Degas
Ordrupgaard - Copenhague
MS-1156
Signé en noir sur panneau, le tableau a été exécuté pendant le séjour de Degas fin 1872-début 1873 à La Nouvelle Orléans. La signature ressemble à d’autres de la même époque dont on remarque la forme ample et originale du D ainsi que celle du G et du S final.
Signé en bas à gauche : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-583
On distingue à peine la signature marron située approximativement à mi-distance entre la main de la repasseuse et le bord de la toile. Etrange signature apposée sur la toile dont on déchiffre à peine le D, le G et le A avec le S totalement effacé. Cette signature a-t-elle été abrasée par un nettoyage trop vigoureux ? C’est en tout cas la réponse que nous pouvons logiquement apporter concernant cette signature à peine lisible et déchiffrable.
Signé en bas à gauche : Degas
Fondation Calouste Gulbenkian - Lisbonne
MS-1414
La signature en noir apparaît derrière le dossier du fauteuil sur lequel est posée une palette de peintre. Elle ressemble à la signature du Ordrupgaard de Copenhague mais s’en distingue néanmoins par la forme du D que Degas utilise assez souvent de façon variée, c’est-à-dire sans véritable constante graphique.
Signé en bas à droite : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-1263
Célèbre tableau notamment pour l’originalité de la mise en page du sujet dont la signature se perd dans la partie sombre en bas à droite. On remarquera que le pinceau n'a pas terminé le D ainsi que la forme inhabituelle du s. Ce n’est d’ailleurs pas l’unique fois que la signature de Degas se termine ainsi.
Signé en bas à gauche : Degas
Norton Simon Museum - Pasadena
MS-932
C’est dans le miroir que tout se passe ici, le tableau faisant penser à une oeuvre de Renoir. La signature se perd en haut à gauche, certes déchiffrable mais étrangement érodée. Degas a-t-il ainsi signé son tableau ? C’est peu probable. Il y a tout lieu de penser que la signature a subi un nettoyage invasif qui l’a ainsi transformée.
Signé en bas à gauche : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-917
La signature de ce tableau est certainement l’une des plus originales de toutes. Elle est d’abord apposée sur la table en-dessous du bâton de lecture du journal très répandu à l’époque. Plutôt que d’être horizontale, elle suit ce dernier mais c’est surtout sa forme qu’il faut retenir. Elle est rendue par de gros traits au pinceau, chaque lettre, du D au s étant inhabituelle chez Degas. Aurait-elle été faite sur une autre œuvre, on se serait peut-être posé la question de son authenticité. Rien de tel évidemment. Cette signature permet d’écarter les clichés habituels sur l’expertise des œuvres de Degas.
Signé en bas droite : Degas
Norton Simon Museum - Pasadena
MS-587
Apposée sur un tableau au thème des repasseuses, récurrent chez Degas, cette signature partiellement érodée est d’un profil déjà connu. Elle se distingue néanmoins par la forme du D et l’effacement étonnant du e et du g.
Signé en bas à gauche : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-1164
Cette signature noire au pinceau se distingue par l’épaisseur du trait, la forme du D et surtout celle du s. On notera l’espace entre le G et le A.
Signé 2 fois en bas à droite : Degas
Dresde, Staatliche Kunstsammlungen
MS-90
Il existe plusieurs versions de la Femme aux jumelles, Degas vouant une passion pour l’opéra. Exécutée à l’huile ou à l’essence directement sur carton, cette signature ressort par ses contrastes entre les blancs et les bruns. Le tableau est doublement signé en bas à droite. La signature du haut est à peine visible. C’est sans doute pourquoi Degas l’a reprise plus bas dont l’originalité ne nous échappera pas. Le blanc éclate sur le fond marron. Elle a toute l’allure d’une signature à la gouache.
Signé et daté en haut à droite : Degas 1875
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-1961
On doit très certainement la finesse de la signature au papier sur lequel Degas l'a apposée tout comme la date de 1875. Elle a très probablement été faite au crayon.
Signé en bas à gauche : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-864
La signature est ici traditionnelle. Le tableau étant une huile sur toile, on pourrait néanmoins penser à la signature d’un pastel ou d'un dessin dont elle imite les formes. Le D recourbé dans le haut a sans doute inspiré les concepteurs du cachet des ventes posthumes de 1918 et 1919.
Signé en abs à gauche : Degas
National Gallery of Art - Washington
MS-585
Sujet récurrent chez Degas parmi les plus belles collections publiques et privées. Signé en bas à gauche au coin de la table à repasser en brun clair comme pour s’insérer dans la tonalité générale du tableau. Comme on le remarque à travers le D, la signature est graphiquement à mi-chemin entre les signatures des peintures et celles des œuvres sur papier.
Signé en bas à droite : Degas
National Gallery - Londres
MS-1142
Un thème peu courant chez Degas, sans doute conçu lors d’un séjour en Normandie. La signature est des plus inhabituelles. Utilisant la couleur noire comme dans d’autres parties du tableau, Degas a amplifié la forme du D et l’épaisseur des lettres suivantes. La lettre D est certes la plus marquante avec son empâtement qui distingue la signature.
Signé en bas à droite : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-1249
La signature est apposée en bas à droite dans la roue du carrosse de course sur un des tableaux les plus célèbres de Degas. Elle détonne par son originalité exceptionnelle. On remarque d’abord l’épaisseur du trait noir mais aussi la formation des lettres. Est-ce un D majuscule mal formé ? Degas a-t-il voulu dessiner un D comme celui du cachet des ventes posthumes ? Le e et le g s'imbriquent étrangement. En fait il manque le bas du g qui n'apparaît pas.
Signé en bas à gauche : Degas
The Art Institute of Chicago
MS-909
On reconnait aisément cette signature par sa forme régulière qu'on retrouve dans diverses œuvres, peintures, pastels mais aussi dessins. C’est évidemment la forme du D qui se rapproche de celle du cachet des ventes posthumes. La toile ressort particulièrement bien dans cette partie plus claire du tableau.
Signé en haut à droite : Degas
Musée Angladon - Avignon
MS-584
La signature épouse la tonalité grise générale du tableau. Légèrement apposée en haut à droite, elle se distingue par la séparation frappante entre les lettres du nom. Les grains de la toile sous-jacente sont particulièrement bien visibles.
Signé en bas à droite : Degas
National Gallery of Art - Washington
MS-1500
Degas reprend ici certains verts du tableau pour le signer discrètement en bas à droite. Une signature où l’espace entre le a et le s ne trouve pas d’explication logique. On distingue bien les touches sous-jacentes
Signé en bas à ngauche : Degas
Metropolitan Museum of Art - New York
MS-244
On ne connaît pas la date exacte du tableau, ce qui explique cette datation approximative. La fiche du Metropolitan Museum of Art ne mentionne pas de signature qui existe pourtant bel et bien à gauche du tableau. Si on retient, comme c’est le cas, la date officielle des années 1882, on remarquera que la forme de la signature n’est pas nouvelle chez Degas. D’où la question de la possible évolution de ses signatures.
Signé en bas à droite : Degas
Musée d'Orsay - Paris
MS-576
Thème exécuté par Degas à plusieurs reprises avec des variations notamment de couleurs. Des tableaux qui figurent dans des collections publiques et privées. Sans pouvoir donner une explication logique, certaines œuvres sont signées, d’autres ne le sont pas comme au Dallas Museum of Art et quelques-unes portent le cachet des ventes posthumes. Ici, la signature est élégamment apposée, régulière et finement dessinée dont on remarquera le S. Bien que faite au pinceau sur une toile dont on voit la trame, elle fait penser aux signatures au crayon de Degas.
Signé en bas à gauche : Degas
Norton Simon Museum - Pasadena
MS-1953
Cette signature sur toile reprend la couleur gris-jaune de certaines parties du tableau. Hormis le D et le g, on notera l’originalité du s, l’ensemble faisant penser à une signature à l’aquarelle.